Vous vous sentez coincé dans votre métier actuel ? Vous rêvez de faire autre chose mais quelque chose vous bloque ? Sachez que le plus grand obstacle à votre reconversion n'est pas externe, mais interne. Ce sont vos croyances limitantes qui vous empêchent d'avancer.
Vous vous sentez coincé dans votre métier actuel ? Vous rêvez de faire autre chose mais quelque chose vous bloque ? Sachez que le plus grand obstacle à votre reconversion n'est pas externe, mais interne. Ce sont vos croyances limitantes qui vous empêchent d'avancer.
Une étude de l'université de Stanford montre que 70% des reconversions avortées sont dues à des blocages psychologiques et non à des obstacles pratiques. C'est effarant, non ? Mais bonne nouvelle : si vous faites partie de ces 70%, vous n'êtes pas seul, et surtout, il existe des solutions pour dépasser ces obstacles.
Aujourd'hui, je vais déconstruire les trois croyances les plus tenaces qui vous empêchent d'avancer et vous donner des outils concrets pour vous en libérer. Êtes-vous prêt à changer de perspective ?
Cette croyance, je l'entends tellement souvent ! Mais laissez-moi vous dire une chose : l'âge moyen de reconversion en France est désormais de 43 ans. Ce n'est pas moi qui le dis, c'est une étude de la Direction de l'Animation de la Recherche et des Études des Statistiques menée en 2023.
L'espérance de vie professionnelle s'est allongée - on parle maintenant de 40 ans de carrière ! Dans ce contexte, changer de métier n'est-il pas simplement une suite logique de votre parcours ? Se reconvertir à 40 ans, c'est être au milieu de sa vie professionnelle, pas à la fin.
Et contrairement aux idées reçues, les entreprises valorisent de plus en plus l'expérience et la maturité, notamment dans les métiers du digital.
Voici un petit exercice que j'appelle "le scénario inversé" :
Imaginez que vous avez 10 ans de plus qu'aujourd'hui et que vous n'avez pas changé de voie. Quel regret ressentez-vous précisément à ce moment-là ? Que dirait votre "moi futur" à votre "moi actuel" ?
Prenez une feuille, un stylo et notez vos réflexions. Cet exercice est souvent révélateur.
Pour vous inspirer, je veux partager l'histoire d'une participante à notre programme. Claire tirait sur la corde depuis 5 ans, s'imaginant faire autre chose, mais quoi ? Pas si facile de savoir quand on a la tête dans le guidon.
Son entourage ne l'aidait pas vraiment : "De quoi tu te plains ? T'as une situation stable, des congés, un bon salaire..." Rien pour favoriser le passage à l'action, mais plutôt renforcer son sentiment d'illégitimité.
Comment a-t-elle dépassé cette croyance ? Elle a commencé par faire un bilan de compétences qui lui a permis de mieux se connaître et de repérer ses compétences transposables. Puis un jour, le corps a parlé : burn-out. Voilà ce qui arrive quand on écoute les autres plutôt que de s'écouter soi-même.
Après un repos nécessaire, elle a tout remis à plat et s'est intéressée aux métiers du digital. Le copywriting s'est avéré être une suite évidente pour elle, curieuse et dotée de grandes qualités rédactionnelles.
Alors qu'elle n'aurait jamais imaginé quitter son CDI, elle l'a fait. C'était devenu une évidence. Aujourd'hui, après trois mois de formation, elle a créé sa micro-entreprise, a ses premiers clients et savoure ce nouveau challenge qui lui permet de retrouver une meilleure santé mentale et un meilleur équilibre de vie.
Claire avait 40 ans quand elle a sauté le pas.
Cette croyance est complètement fausse. Retenez ces deux mots : compétences transférables.
En moyenne, 60% de vos compétences actuelles sont directement réutilisables. Vous n'avez pas passé toutes ces années de travail pour rien en retirer !
Les soft skills (communication, organisation, résolution de problèmes) sont souvent les compétences les plus valorisées et facilement transposables dans votre nouveau métier. Votre expérience de vie et professionnelle constitue un capital précieux, même dans un nouveau domaine.
Je vous propose de faire l'inventaire de vos acquis :
Une autre participante, Sophie, avait cette même croyance : elle pensait devoir tout réapprendre pour devenir closer. Grâce à notre accompagnement, elle a pris conscience qu'elle avait tort.
Elle a découvert que 70% de ses compétences étaient transférables : capacité d'écoute, psychologie, méthodologie, communication, empathie... Il ne lui restait que 30% de compétences techniques à acquérir.
En seulement 90 jours, grâce à un accompagnement renforcé, des coachings collectifs et individuels, un mentorat et le soutien de toute une communauté d'entrepreneurs, elle y est arrivée.
Aujourd'hui, grâce à son positionnement unique combinant ses acquis et ses nouvelles compétences, les opportunités s'enchaînent. Elle dégage un revenu moyen trois fois supérieur à son ancien emploi et, surtout, elle est bien plus épanouie.
Ah, l'argent, le nerf de la guerre ! Voici comment déconstruire cette croyance avec des approches concrètes.
Je vous propose un exercice pratique :
À son arrivée dans notre académie, Oriane avait un poste de secrétaire de mairie à mi-temps. Elle a réalisé sa formation en parallèle de son emploi pour garder une certaine stabilité financière.
Grâce à cette stratégie de chevauchement, elle a finalisé sa formation en moins de 90 jours et obtenu ses deux premiers clients grâce à l'activation de son réseau personnel.
Aujourd'hui, elle a trois clients fidèles qui lui permettent d'avoir des retombées financières régulières. Elle augmente progressivement son chiffre d'affaires et envisage de demander une disponibilité à son employeur pour développer davantage son activité.
Chaque jour, notez une preuve qui contredit votre croyance limitante. Par exemple, si vous pensez "je ne gagnerai jamais ma vie avec ce métier", recherchez des exemples de freelancers ou salariés du digital qui gagnent correctement leur vie, parfois même mieux qu'avant.
La clé ? Se positionner clairement, apprendre à se vendre, monter en compétence et répondre à un vrai besoin.
Au lieu de dire "je n'ai pas le temps pour me former", demandez-vous plutôt "comment puis-je organiser mon emploi du temps pour dégager 30 minutes à une heure par jour pour apprendre ma nouvelle compétence ?"
Au lieu de penser "je n'y arriverai jamais", demandez-vous "quel petit pas puis-je faire dès aujourd'hui pour avancer dans ma reconversion ?"
Entourez-vous des cinq personnes qui vous apportent le plus en termes de soutien et de bien-être au quotidien. Le positif attire le positif !
Pour conclure, récapitulons ensemble les trois croyances limitantes et leurs antidotes :
Je vous propose un petit défi : identifiez la croyance qui vous freine le plus et appliquez l'exercice correspondant cette semaine.
Gardez en mémoire cette phrase : "Vos croyances créent votre réalité. Changez vos croyances et vous changerez vos possibilités."
Vous n'êtes pas seul dans cette aventure. N'hésitez pas à réserver un appel de diagnostic gratuit pour faire le point sur votre situation et recevoir un plan d'action personnalisé pour votre reconversion.
Il n'est jamais trop tard. Des reconversions réussies ont lieu à 40, 50 ans et même au-delà. L'âge moyen de reconversion en France est de 43 ans.
En moyenne, 60% de vos compétences actuelles sont directement transférables dans un nouveau métier.
Vous pouvez opter pour une transition progressive (mi-temps, micro-entreprise en parallèle), explorer les dispositifs existants (démission-reconversion, rupture conventionnelle) ou établir un plan financier de transition réaliste.