3/6/2025

Comment se reconvertir dans le digital quand on est maman ? Témoignage de Maud !

Maud, 26 ans, maman d'une petite fille de 4 ans, habitante du Gers. Il y a encore quelques mois, elle était caissière et animalière chez Gambert. Aujourd'hui, elle a signé son premier contrat de closeur et vit enfin la liberté qu'elle recherchait tant.

Comment se reconvertir dans le digital quand on est maman ? Témoignage de Maud !

Maud, 26 ans, maman d'une petite fille de 4 ans, habitante du Gers. Il y a encore quelques mois, elle était caissière et animalière chez Gambert. Aujourd'hui, elle a signé son premier contrat de closeur et vit enfin la liberté qu'elle recherchait tant.

Son histoire ? Un témoignage touchant sur la reconversion dans les métiers du digital, qui prouve qu'il n'est jamais trop tard pour changer de vie professionnelle, même quand on est parent.

Le déclic : quand l'amour du métier ne suffit plus

"Dans mon ancienne situation professionnelle, ça me plaisait beaucoup de vendre des animaux, de conseiller surtout pour que le bien-être animalier soit mis en œuvre", nous confie Maud. "J'aimais voir les gens sourire quand on leur vendait quoi que ce soit."

Alors pourquoi partir ? La réponse est simple mais révélatrice : "L'ampleur du temps que me proposait ce travail n'allait pas avec mes projets de vie privée. J'ai cherché à trouver de la liberté dans ma vie privée aussi pour pouvoir voir ma fille grandir."

Le problème du salariat : une charge énorme, une reconnaissance insuffisante

Maud met le doigt sur un problème que beaucoup connaissent : "Dans tout salariat, la charge de travail est énorme, toujours énorme. Et elle n'est jamais récompensée à sa juste valeur."

Elle poursuit : "En général, les patrons ont du mal à venir vers toi en te disant 'tu as fait du bon travail aujourd'hui'. Je ne pense pas qu'on ait la reconnaissance qu'on est censé avoir."

Le salariat, c'était aussi être prisonnière des horaires : "Dans la vente, on travaille le week-end. Je ne pouvais pas être là pour les anniversaires, les baptêmes, les mariages. C'était trop compliqué."

Pourquoi le closing ? Une passion pour la relation client

Maud avait le choix entre deux compétences : le graphisme et le closing. Son choix s'est porté sur le closing "parce que j'aime beaucoup la relation client, j'adore vendre et j'aime offrir la liberté que j'ai souhaité avoir."

Un choix cohérent quand on sait qu'elle avait déjà une expérience dans "le même domaine de la vente". Comme le souligne Julie, la coach : "Finalement, tu n'as fait que retransposer certaines compétences vers d'autres."

Le closing, une passion pour la relation client

La découverte du digital : un secteur d'avenir évident

Comment Maud a-t-elle découvert cette opportunité ? "Tout simplement en scrollant sur TikTok, je suis tombée sur une des personnes qui fait des vidéos pour le Customer Life Changer. Et en fait, tout ce qu'elle disait était limpide. C'est exactement la situation à laquelle je voulais être."

Pourquoi les métiers du digital ? Pour Maud, c'était une évidence : "Le digital, c'est quelque chose qui est tout nouveau, on est en train de se diriger vers l'IA, on se dirige beaucoup vers la technologie, donc pour moi c'était naturel que le marketing digital se mette en place."

Elle ajoute : "Depuis le Covid aussi, il y a eu beaucoup de demandes de télétravail, de mise en place de digital. Donc oui, ça paraissait limpide."

Les craintes avant de se lancer

La peur de l'investissement financier

"J'avais peur pour l'argent surtout, parce que c'est pas évident de devoir dépenser de l'argent", avoue Maud. "Avant, je pensais que c'était donner de l'argent, du temps aussi, ce n'était pas quelque chose que je pouvais me permettre."

Le changement de perspective a été crucial : "Quand j'ai compris que j'investissais sur moi-même, sur mon temps et sur ma vie professionnelle et personnelle... l'investissement, c'est ça, c'est le maître mot de l'académie, c'est l'investissement de soi."

Le choix de l'accompagnement

Pourquoi avoir choisi cette académie plutôt qu'une autre ? "Très honnêtement, je n'ai pas été chercher ailleurs. Ce qui m'a beaucoup plu, c'est le cheminement. Il n'y a que vous qui faites ça. Il y a l'accompagnement, il y a tellement de choses qui sont prises en compte qu'on est accompagnés de A à Z. Et même après Z."

L'accompagnement humain a été déterminant : "L'accompagnement humain et la communauté, oui, oui, complètement. C'était l'argument principal."

Un accompagnement humain

L'expérience de formation : défis et réussites

Le challenge : une ligne de conduite motivante

"La plus grande difficulté, c'était le challenge parce que je suis rentrée et j'ai commencé le challenge dès le lendemain", raconte Maud. "Au contraire, ça nous permet d'avoir une ligne de conduite. Elle est très puissante, il faut y aller, il faut en vouloir."

L'importance de la communauté

Un moment marquant ? "J'ai eu un énorme moment de panique et heureusement, je suis tombée sur une des personnes avec qui je faisais des exercices. J'avais que deux heures pour me préparer et il était là, il a pris du temps pour moi. Il m'a accompagnée, il m'a aidée et je trouvais ça fabuleux."

Concilier formation et vie de maman

Comment Maud a-t-elle réussi à tout gérer ? "J'ai installé ma nouvelle vie professionnelle dans ma vie personnelle. Tandis qu'avec le salariat, on met notre vie personnelle dans notre vie professionnelle."

Le résultat : "Ça me permet d'amener ma fille à l'école, ça me permet de passer du temps avec elle, ça me permet de passer des week-ends avec elle, et ça se fait tout seul. La petite est à l'école, je travaille, la petite est à la maison, je suis avec la petite."

Les premiers résultats : plus rapides qu'espéré

Un premier contrat en moins de 90 jours

"Je pensais mettre 90 jours et j'en ai mis un peu moins", confie Maud. "Je vais signer mon premier contrat. Je l'ai eu au téléphone il y a à peu près deux semaines et il attendait que mon statut soit à jour."

L'émotion du premier succès

"J'étais tellement heureuse, j'ai sauté de joie partout. Heureusement qu'il n'y avait personne pour me voir. Je ne m'attendais pas à ce que ce soit si tôt, je ne m'attendais pas à ce que ce soit aussi bénéfique."

L'impact émotionnel : "Quand on n'est plus très bien dans son travail, c'est un peu gris. Et là, oui, j'ai retrouvé les couleurs de la vie."

L'émotion du premier contrat

La transformation : du métier alimentaire à la passion

Avant : "Remplir le frigo, mais pas le cœur"

"C'était pour moi un métier alimentaire parce que je passais plus de temps au travail qu'à la maison. Ça permettait de remplir le frigo, mais pas de remplir le cœur. C'était beaucoup du métro-boulot-dodo."

Aujourd'hui : l'équilibre parfait

"C'est beaucoup plus limpide, ça permet de mettre toutes les choses là où elles doivent être, d'avoir son temps pour soi, avoir le temps en famille, avoir le temps au travail et pouvoir tout concilier correctement."

La liberté retrouvée : géographique et temporelle

Maud a découvert les possibilités du digital nomadisme : "Je suis tombée sur une des personnes qui m'a dit 'je suis en train de préparer mon voyage à Bali' et ça faisait deux mois qu'elle était là. Moi, si j'ai envie plus tard, si je veux aller quelque part, je peux le faire."

L'autonomie totale : "On prend l'ordinateur sous le bras et on va se mettre sous les cocotiers. Se garder 2-3 heures dans sa journée pour répondre aux besoins de nos clients, c'est pas incompatible."

L'impact sur l'entourage

"Maintenant, ils sont très heureux parce qu'ils voient que je suis épanouie. Ils voient que je suis heureuse et ils voient que je peux prendre un peu plus de temps aussi pour les voir."

Maud peut enfin être présente : "Je peux être à tous les anniversaires pour les petits parce qu'on a une très grande famille avec plein d'enfants. Je peux être là pour les anniversaires, les baptêmes, les mariages. Je ne pouvais pas faire tout ça avant."

Être présent pour sa famille

Ses conseils pour ceux qui hésitent

Regarder d'où on vient pour savoir où on va

"De regarder d'où il vient pour savoir vers où il veut aller. Aujourd'hui, si on veut faire quelque chose, il faut avancer. La liberté est devant soi."

Ne pas avoir peur des moments difficiles

"Ce n'est pas tous les jours rose. Ça vient, ça va, c'est comme ça. Il faut se donner les motivations nécessaires, il faut se donner l'envie et il faut surtout regarder d'où on vient pour savoir où on va."

Ses projets d'avenir

Dans un an, où se voit-elle ? "J'aimerais aller à la plage. Je n'ai jamais pu faire ça depuis quelques années. J'aimerais être à la plage avec ma famille, pouvoir travailler avec mon ordinateur sous les cocotiers et profiter, tout simplement profiter."

Son message aux autres : "Allez-y, allez-y, c'est ça qu'il vous faut."

Le mot de la fin

En un mot, comment Maud décrit-elle l'impact de cette reconversion sur sa vie ? "Liberté."

Une liberté qu'elle transmet déjà : elle a recommandé l'académie à deux personnes de son entourage et les accompagne dans leur réflexion.

L'histoire de Maud prouve qu'une reconversion dans le digital est possible, même quand on est parent, même quand on part de zéro techniquement. Il suffit parfois d'oser faire le premier pas vers la liberté.

Un seul mot : LIBERTÉ

FAQ

Est-il possible de se reconvertir dans le digital sans formation technique préalable ?

Absolument ! Maud était caissière et animalière. Sa réussite repose sur ses compétences relationnelles et commerciales qu'elle a transposées vers le closing. Les métiers du digital valorisent souvent les soft skills autant que les compétences techniques.

Comment concilier formation et vie de famille avec un enfant en bas âge ?

Maud a réussi en "installant sa nouvelle vie professionnelle dans sa vie personnelle" plutôt que l'inverse. La flexibilité du digital permet d'adapter son rythme de travail aux contraintes familiales : travailler quand l'enfant est à l'école, être présente quand il est à la maison.

En combien de temps peut-on espérer décrocher son premier contrat ?

Maud a obtenu son premier contrat en moins de 90 jours, plus rapidement qu'elle ne l'espérait. Cependant, cela dépend de l'investissement personnel, de la compétence choisie et du marché local.

Comment surmonter la peur de l'investissement financier dans une formation ?

Il faut changer de perspective : passer de "dépenser de l'argent" à "investir sur soi-même". Maud recommande de voir la formation comme un investissement dans son temps, sa vie professionnelle et personnelle, pas comme une simple dépense.

Les métiers du digital sont-ils vraiment d'avenir ?

Pour Maud, c'était une évidence : "On se dirige vers l'IA, vers la technologie, donc c'était naturel que le marketing digital se mette en place." Le Covid a accéléré la digitalisation et la demande de télétravail, confirmant que ces métiers sont porteurs d'avenir.

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